

Coupures de presse et compte-rendus médiatiques.
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Amine pensif, en route pour atteindre l’inaccessible étoile… La Nationale 3 Reportage photos Kevin Cao
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L’AS Panazol valide sa montée historique en National 3… Écouter +
L’AS Panazol sort vainqueur face à St Médard d’Eyrans et accède au National 3 Voir +
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Les Panazolais ont profité de la défaite de Brive ce dimanche après-midi pour prendre la main dans la course à la montée.
Leader de la poule B de R1 depuis l’automne, les Brivistes ont cédé leur fauteuil à une journée du terme de la saison. Ce dimanche après-midi, les Corréziens, qui devaient s’imposer pour conserver la tête de la poule, ont subi la loi de Mérignac-Arlac, 3e du classement (1-0).
A 90 minutes d’une montée historique
Un revers qui change la donne dans la course à la montée puisque Panazol, vainqueur d’Angoulême (1-0), jeudi en match avancé, abordera la dernière journée en leader avec deux points d’avance sur Mérignac-Arlac (2e) et Brive (3e).
Surtout, les hommes d’Amine Ihrab n’auront besoin que d’une victoire à Saint-Médard-d’Eyrans pour s’offrir une accession historique, sans se préoccuper du résultat de ses deux poursuivants.

Régional 1 : à l’AS Panazol, Papis Sadio fait de la résistance
À 45 ans, Papis Sadio continue d’arpenter les terrains de R1 avec une motivation décuplée. Titulaire au sein de la défense de fer de l’AS Panazol, le Sénégalais, compétiteur dans l’âme et sportif accompli, ne compte pas encore raccrocher les crampons.
« Plus les saisons passent, plus je me sens mieux. » Les années n’ont pas de prise sur Papis Sadio. Âgé de 45 ans, le Haut-Viennois d’adoption, qui fait figure de doyen au plus haut niveau régional, est habité par une motivation et un esprit de compétition indéfectibles. Né la même année que Thierry Henry ou David Trezeguet, en 1977, le Sénégalais l’annonce sans détour : l’idée de raccrocher les crampons n’est absolument pas à l’ordre du jour. « Tant que j’aurai la santé pour pouvoir courir et jouer, je continuerai. J’arrêterai quand mon corps et mon esprit me diront stop. »
Alors quel est son secret à continuer à performer en R1 à 45 ans ? » J’ai eu de la chance de ne jamais avoir eu de grave blessure tout au long de ma carrière. Et puis, j’ai commencé sur le tard en signant ma première licence à 22 ans, à Beaubreuil. Je suis en perpétuel apprentissage et j’essaie de gommer mes lacunes quotidiennement. »
Arrivée à Limoges en 2000, de son sénégal natal, pour y faire ses études, Papis n’avait jamais joué en club auparaavnt. « Au sénégal je n’avais fait que du foot de rue, pieds nus sur le sable. Lorsque j’ai pris ma première licence en France, ma première difficulté a été de mettre des crampons et des protège-tibias. »
Aujourd’hui, sous les couleurs de l’AS Panazol, le laisir est plus que jamais au rendez-vous pour le défenseur qui continue à pratiquer sa passion comme au premier jour. Une pratique du sport en général indispensable pour son équilibre au quotidien : « j’ai toujours besoin de courrir, de faire du gainage, des abdos, des pompes, de la corde à sauter. Ce que j’aime le plus au contraire de la plupart des footeux, ce sont les séance physiques car j’aime me surpasser même quand je suis fatigué. » Cette saison l’ancien défenseur de Feytiat, du Limoges FC ou encore de la JA Isle, s’épanouiet sous les ordres d’Amine Ihrab, un ami de longue date, à l’AS Panazol. « En 2012 je lui avait fait la promesse de venir travailler avec lui lorsqu’il serait coach. Et je suis arrivé l’été dernier car c’était le bon moment pour lui donner un coup de main en apportant mon expérience ».
Un coup de main plus qu’appréciable pour le coach panazolais avec lequel il a scellé une belle amitié du temps ou les deux hommes évoluaient au Limoges FC. « C’est quelqu’un dont je suis très proche, c’est un ami de la famille. J’ai été son témoin de mariage, souligne Amine Ihrab. Au quotidien Papis m’aide beaucoup, c’est un grand frére pour les joueurs. Il a le physique pour lui, il ne lâche jamais rien. Il est à fond tout le temps. Je suis très content de l’avoir à mes côtés, c’est une valeur sûre ». S’il n’a pas beaucoup joué en début de saison en raison de son statut de joueur muté, Papis Sadio à su prendres son mal en patience: » je disais aux autres joueurs qui étaient dans le même cas, qu’une saison est longue et que la roue finit par tourner. »
Devenu un titulaire inamovible au sein de la défense de fer de l’AS Panazol depuis février, Papis Sadio contribue à cette fin de saison en boulet de canon du promu Haut-Viennois en course pour l’accession en N3.
Compétiteur, Papis Sadio qui retrouvera demain le stade Roger-Coudert et le CS Feytiat ou il a évolué six ans au total, ne fera pas de sentiment. Mais il aura plaisir à recroiser notamment son ancien coach au CSF, Stéphane Roussy qui ne tarit pas d’éloge à son sujet: « c’est un exemple de longévité, c’est un athlète à l’hygiène de vie exemplaire. Dans une équipe, il amène une forme de leadership, il sait fédérer. Papis ne cherche pas la lumière, c’est un sage qui a souvent la bonne parole et je pense que beaucoup de joueurs devraient prendre exemple sur lui. »
Un bel hommage pour un passionné qui compte encore écrire de beaux chapitres.

Régional 1 : Panazol cartonne et revient à un point du leader Brive,
Isle se relance dans la course au maintien.
À trois journées du terme de la saison, l’AS Panazol est plus que jamais en course pour la montée en N3 alors que le JA Isle n’a pas dit son dernier dans la lutte pour le maintien. L’AS Panazol relance tout. Alors que le leader briviste a été battu à Cognac samedi soir (1-0), l’AS Panazol n’a pas raté l’occasion de revenir à un point de l’Etoile. Ce dimanche après-midi, les joueurs d’Amine Ihrab ont largement disposé de l’AS Saint-Pantaléon (5-0), déjà promise à une relégation en R2. Fatih Turk, Lansana Diassy en première période puis Kalifa Diambou, Ouail Ouanjine et Ryad Bokhari ont marqué lors de cette victoire. À trois journées de la fin du championnat, les Panazolais sont plus que jamais en course pour la montée en N3. La JA Isle maintient l’espoir.



Depuis 2016, le club panazolais a décroché quatre accessions, une Coupe de la Haute-Vienne et a participé à un 32e de finale de Coupe de France.
74 % de victoires en championnat
Depuis son arrivée sur le banc de l’AS Panazol en 2016, Amine Ihrab a remporté 74 % de ses matches de championnat. Encore en Départemental 1 lors de l’arrivée au club de l’ancien joueur du Limoges FC, l’ASP a gravi les échelons pour évoluer en Régional 1 aujourd’hui.
Une attaque prolifique et une défense de fer
Depuis 2016, les Panazolais marquent en moyenne trois buts par match : 339 buts en 113 rencontres. La défense de l’ASP est également très efficace avec 0,70 but concédé par rencontre (81 buts au total sur la même période). Avec seulement 9 buts encaissés depuis le début de la saison dont six clean-sheets en douze journées, le promu haut-viennois détient la meilleur défense de sa poule.
Une longue invincibilité à la maison
A Morpiénas, l’AS Panazol a connu une période d’invincibilité de plus de 5 ans en championnat. Entre le 12 février 2017 ( défaite 1-0 contre Isle C en Départemental 1) et le 1er mai 2022 (revers 2-1 face à Donzenac en Régional 2), les Panazolais sont restés invaincus à la maison


En Départemental 1 en 2017, l’AS Panazol a su gravir les échelons pour s’imposer aujourd’hui comme l’un des principaux fers de lance du foot limousin. La réussite du promu en R1, qui défiera le leader Brive, dimanche à Morpiénas, repose avant tout sur une histoire d’hommes.
Cette époque où les Panazolais devaient batailler à Eymoutiers, Oradour-sur-Glane ou encore Solignac pour accéder aux championnats régionaux n’est pas si lointaine. C’était il y a six ans. Et le président de l’AS Panazol le reconnaît lui-même : il ne pensait certainement pas que son équipe jouerait le haut de tableau de R1 en 2023. « C’est quelque chose que je n’avais pas imaginé. Lorsque j’ai repris le club en 2015, c’était pour rendre service à la mairie. Et puis, avec Amine (Ihrab), le projet s’est mis en place de fil en aiguille. »
Avec quatre montées, une Coupe de la Haute-Vienne et un 32es de finale de Coupe de France à son actif en six ans, l’AS Panazol s’érige comme un fer de lance d’un foot limousin. Cette réussite, incarnée par le duo Dominique Mounier – Amine Ihrab, repose sur plusieurs aspects…

















Article de presse lors de ses 80ans d’existence…
Tout a commencé en 1920 quand une bande de copains décidèrent de former une équipe « La Jeunesse Sportive de Panazol ». Après plusieurs années difficiles, en 1935 Fernand Valière décida de créer l’AS Panazol Football. Un personnage historique parmi tant d’autres qui restera 15 années à la tête du club sur deux périodes (avant et après la guerre 1939-1945). Pendant quatre-vingts années, l’AS Panazol Football a tout connu, des hauts comme des bas. Vainqueurs de coupes, des titres de champions et surtout l’aventure de la montée de 1 re division district en Division Honneur Ligue en quatre ans aux débuts des années 80, comme des descentes jusqu’en 3 e division district dans le milieu des années 2000. Parmi, les personnages emblématiques du club, on retiendra des dirigeants et des entraîneurs dévoués « pour leur club » comme Fernand Valière, Georges Queyreix, Georges Bouteiller, René Roche, René Dadat, André Zabaleta, Pierre Faure, Jean-Marc Bellezane, Claude Thomas, les frères Veyrier, Jean Desruisseaux, Désiré Lachaud, Daniel Tamarit, Stéphane Bonardet, sans oublier tant d’autres qui méritent le respect. 250 U9-U7 à Morpiénas. Une exposition de photos, articles de presse, de vidéos sera à découvrir, et reviendra sur les différentes étapes de l’histoire de l’AS Panazol Football. En parallèle à cet anniversaire, le club organise sa traditionnelle Ligue des Petits Champions U9-U7. 40 équipes, soit plus de 250 enfants seront présents sur le stade de Morpiénas. Les différentes générations de l’ASP pourront faire connaissance avec les jeunes pousses.
Programme : Ligue des Petits Champions à partir de 10 heures jusque vers 12 h 15 pour le lâcher de ballons d’anniversaire. Reprise à 14 heures. Vers 17 heures, remise d’un Trophée Souvenir à tous les participants. 18 h 30, vin d’honneur « Spécial 80 ans », suivi de la « Paella des Panazolais ».
Dans le cadre de la coopération Diofior-Panazol, exposition de documents des différents échanges entre le club, la ville de Diofior au Sénégal et la ville de Panazol.
